dimanche 13 février 2011

J-1

de Saint Valentouche.

Ihaaaa. Soirée cholestérol en perspective. Pour l'occase, je sens que Tifounette aura droit à son dîner aux chandelles. Parce qu'elle le vaut bien. La preuve, il est 3.30 du matin, et qui c'est qui est sur mes genoux en train de ronronner tranquille..?

Oh la la, là, je fonds. Suis un peu à côté de mes pompes, ou devrais-je dire de mes poumons parce là, j'ai un gros Tifou dans la gorge. Snif snif ouin ouin Huhu huhu. Mais ceci étant, je bénis ce jour où elle est entrée dans ma vie. Je m'en rappelle encore. J'avais l'âge que j'avais et j'ai, contre toute attente, nié Twilight pour elle et là, j'ai compris qu'elle et moi, ce serait pour la life.

Bah oui quoi, qui à part Tifou a réussi à détourner mes yeux d'Edward. Bon, dommage qu'elle ne sait pas lire. Bon, je vais le lui lire. Bon, ma lecture faisant, elle s'en est allée manger ses crocros. Bon, je lui en veux pas. L'émotion, ça creuse, c'est bien connu.

Sinon, à part ma Valentine's thinking of the day, j'ai été élue Bobinette de la soirée. Et force est de constater que j'ai rempli haut et fort ma tâche assignée.

Et mes mains ont tellement de calories ingurgitées de Monsieur Oetker que j'ai trop d'énergie que pour aller dodoter directus cretus. Donc voilà le pourquoi du comment de moi ici.

Bon, à part ça, demain, je dois me lever à une heure pas possible si on fait le décompte par rapport à l'heure qu'il me sera donné de ronronner à mon tour. Mais je DOIS le faire. Yes I can. Allez, Ma, tu es un réveilleur sur pattes. Tu seras à l'heure de la non-snoozerie ce que les Indiens sont aux Amériques. Cherchez pas à comprendre, la figure de style n'a pas encore été approuvée par la rhétorique des temps modernes.

Mais que m'importe peu puisque l'homme des cavernes que je suis n'en a que faire.

A part ça, je suis en train de muer grave. Ma voix rauque devient on ne peut plus glauque. Mais que nenni de jugement enduré, nous sommes à l'ère de la communication manuscrite, voire clavardoise, et en plus, à côté de moi, Bruel peut aller se rendormir. Enfin, à l'heure qu'il est, s'il dodote pas, c'est qu'il tient vachement l'alcool.

Bon, sur ce, il est un peu plus tard que tantôt, et il est surtout l'heure de terminer ce long et terrible monologue.

é-MA-ciée de mes écrits.

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