jeudi 13 octobre 2011

Ihaaaaaaa

Last jour de torpitude, mais certainement pas le least.
Heureusement, je me suis levée les deux yeux ouverts, je n'ai pas du réveiller le réveil et je pense que le système interne des synapses est fonctionnel.

Et, cerise sur le gateau, j'ai rêvé que j'avais rangé ma chambre. Waw, quel rêve prémonitoire. Parce que c'est vraiment dans les projets court terme.
La question se résume à:
Que veux-je bien jeter? Nada.
Que veux-je garder? Alles.
Solution: trouver des milliards de coins planque.

Voilà qui est dit.
Et là, on ne s'en doute pas, mais je suis en pleine séance de bombardage de rayons UV.

Et là, bah je suis en pleine décidation de la couleur de mon serre-tête.

Allez, banane journée!




mardi 4 octobre 2011

Courache Courache

Maintenant j'ai compris. Quand je dors en même temps que le soleil, mes neurones travaillent à productivité inégalable. La preuve, hier. Même Chuck Norris pouvait aller se cacher. Je traçais. Des lignes, des marges? Que nenni, des parallélépipèdes rectangles, des octogones à surface pleine, des triangles à quatre côtés.

Et y'a des jours où j'ai pas les yeux en face des trous, où 1+1 je sais même pas combien ça fait et où je mange pour ne pas m'endormir.

Allez, plus que pas beaucoup de jours, et je serai en mode
'je me réveille à l'heure que je veux,
je m'endors à l'heure que je veux,
et je mange quand je ne suis pas à l'une des deux autres activités'.

Ah la vie, quand même. On dit qu'il faut connaître la tristesse pour éprouver de la joie, et bien j'ajouterais aussi:
- Il faut avoir mal aux gencives pour savourer les Betterfoods.
- Il faut manquer de sommeil pour avoir envie de dormir.
- Il faut courir pour être à l'heure. Ou alors manger des cheerios.

Bon, vous l'aurez compris, j'ai envie de dodo, je suis à la bourre et j'ai besoin de vacances.

MA - en mode c'est quand les vacances?

lundi 3 octobre 2011

Le poids des cheveux

Voilà ma nouvelle hypothèse du pourquoi de mon mal de crâne.

En effet, imaginez porter 5 kilos de perruque sur la tête et vous comprendrez la lourdeur que ça entraîne les jours venant, les jours allant, et les bras ballants.

Ceci dit, je vais couper court à ce calvaire et couper pas si court chez le type-kouffeur.

Je vous en dirai tant.

MA - en mode moi parler zimbabouin

dimanche 2 octobre 2011

Un indien dans la ville

Et voilà-t-il qu'il nous a apporté son été.

J'ai donc eu l'occasion de parfaire mon bronzage inné.

Et maintenant, je suis en mode le soleil m'a bien tapée.

Donc il est l'heure de me coucher.

Sauf qu'il est que 21.00 et alors kwé?

Je suis très fatiguée alors je vais devoir vous quitter.

Je sais, vous allez pleurer.

Et vous allez même vous moucher.

Je sais, je vais beaucoup vous manquer.

Mais bon c'est vrai, je reviendrai.

Et au pire, vous me relirez.

Bonne nuit hé!