Ainsi va la vie. J'aurais du me fier à l'immobilisme et refus catégorifique de Franske d'aller sur les toboggans. Elle était donc venue de loin pour admirer ma chute terrifo-diabolique. Un plat sur du béton. J'étais propulsée à 90km/h à la sortie des tentacules de la pieuvre et n'ai trouvé aucun réflexe de survie face à l'immensité bétonnée du sable sec.
Bref, impossible de faire du hula hop pour les prochaines semaines, ni de m'assoir sans pousser un cri intérieur, ni même m'abaisser pour mettre mes chaussettes. Bref, les bottes et moi, on fait un break. Mais c'est pour mieux nous retrouver.
Ceci étant, cela ne m'empêchera pas de participer au concours de hula hop prévu pour mai. D'ici là, mon coup de hanche n'en fera qu'une bouchée de mes compétitrices.
Maintenant, le fameux "Qui fait le malin tombe dans le ravin" prend tout son sens.
Et j'ajouterai même, qui fait son malin, se fait surtout mal au popotin.
Adios,
MA
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