lundi 25 mai 2009

We were the chamme-piounne my fréé-èènds

En fait, non pas vraiment. On a surtout chialé tout ce qu'on a bu quand Sporting Cloubb' du Pourl-tout-gal s'est fait piqué sa place à la finale par l'équipe des favorisés.

Walà, je suis censée être émotionnellement immunisée mais faut croire que pas encore.

Même mes amis gulashois n'ont pas pu prendre la revanche.

Ambiance du tonnerre sous un soleil de plomb.

Résultat des courses : j'ai gagné un bronzage on ne peut plus disymétrique à l'horizontale : j'ai une espèce de barbe de 3 jours de couleur dorée, et le reste, caché sous ma casquette de fashionita, m'a laissé ma couleur d'origine, c'est-à-dire vert pâle.

J'espère que ma peau ne va pas me faire le coup de la poussée florissante comme à mon retour d'Australie, c'est vous dire combien cette période acnéito-pustulique m'a éventrée. Bon, j'exagère mais c'est vraiment pas cool d'avoir une tête d'ado (sorry les ados, mais c'est en tant que "non-jeune" que je dois m'exprimer)

A part ça, mon portugais fut comme il était devinable de facto: pas au point. Mas nao e grave, foi muito contente mesmo si as crianças nao entenderao me nada e nao falaram comigo entao foi um pouco triste mas nao faz mal, sou forte et tudo vou passar.

Voilà, ceci fut la complainte d'une guide incomprise aux pays de la morue à la crème.

Et surtout, je me suis livrée à l'orgie de l'année le dernier soir : des frites avec un hamburger et de la glace brésilienne. Bon, j'exagère, mais je dois avouer que la salade aux cumcum-beurre sans sauce commençait tout doucement à me faire chier. Enfin, façon de parler hein.

Suite des aventures des bronzés font du foot au prochain épisode...

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