des chaussettes et des collants.
Le temps étant ce qu'il est, mon nez s'est pris de plein fouet tout ce qui restait de ma toux pour mettre ma tête dans le seau.
Bref, je reconnais à peine ma voix suave.
mercredi 22 mai 2013
lundi 29 avril 2013
Craquage
Et voilà, en 2 minutes TOP CHRONO, j'ai fait ce que mon inconscient me pousse à faire depuis que je l'ai rencontré : je l'ai adopté.
Il s'appelle Momoni, il dit qu'il est beige mais en fait, il est vert jade. Il se porte avec une petite ceinture dorée. Il est tout simplement canon. Love at first sight quoi.
Bon, voilà, à part ça, ça va.
Bon ce matin, opération camouflage.
Sur ce, hastalala.
Il s'appelle Momoni, il dit qu'il est beige mais en fait, il est vert jade. Il se porte avec une petite ceinture dorée. Il est tout simplement canon. Love at first sight quoi.
Bon, voilà, à part ça, ça va.
Bon ce matin, opération camouflage.
Sur ce, hastalala.
dimanche 21 avril 2013
Oyé Oyé
Dimano, c'est lunes. Et qui dit lunes, dit ça me dit rien du tout.
Bon, je rigole, une fois n'est pas coutume. Je suis contente d'être à demain.
Bon, ce we, j'ai fait le plein avant le régime estival tant attendu:
- 4 morceaux de cake
- des cent wafers, en veux-tu-t'as-mangé-tout-le-paquet-format-familial
- des buenos parce qu'ils sont trop buenos
et last and least, des sandwichs au jambon-fromage-beurre.
Je sais, les sandwichs, c'est devenu la grande obsession dès que j'arrive en terrain hors Suisse.
Pourtant, je constate avec effroi qu'avec la vieillesse lancinante, mes dents ne supportent plus les sandwichs durs. Snif snif ouin ouin.
La bonne nouvelle c'est que l'aiguille de la balance est restée collée sur l'ancien poids, donc no stress.
Bon, à part ça, des nouvelles côté cheveux. Et oui, ça faisait longtemps.
Et bien, ils sont raplaplas et la mèche tient plus debout toute seule. Enfin, ça n'a jamais tenu tout seul, mais avant, j'arrivais quand même à ressembler à Presley sans trop de chipotage.
Donc voilà, Dessange here I am.
Sinon à part ça, je suis allée à Avignon le we d'avant où mon talent d'instagrammeuse-paparazzeuze a créé de l'engouement.
Avignon, we mémorable, et d'ailleurs, Avignon ou pas, il le fut pour chacun de nos concitoyens des terres gelées et du printemps bypassé (attention, terme anglais signifiant oublié, nié, évité). Mémorable disais-je par le temps à demi-caniculaire où l'on pusse remarquer à vue d'oeil demoiselles en jupettes et ballerines, damoiseaux bah, comme d'hab les gars, pas beaucoup de choix, en t-shirt, short, et mamies-papys ont enfin ôté la couche Damart.
Voilà pour les nouvelles du pays de la fondue.
Bon, je rigole, une fois n'est pas coutume. Je suis contente d'être à demain.
Bon, ce we, j'ai fait le plein avant le régime estival tant attendu:
- 4 morceaux de cake
- des cent wafers, en veux-tu-t'as-mangé-tout-le-paquet-format-familial
- des buenos parce qu'ils sont trop buenos
et last and least, des sandwichs au jambon-fromage-beurre.
Je sais, les sandwichs, c'est devenu la grande obsession dès que j'arrive en terrain hors Suisse.
Pourtant, je constate avec effroi qu'avec la vieillesse lancinante, mes dents ne supportent plus les sandwichs durs. Snif snif ouin ouin.
La bonne nouvelle c'est que l'aiguille de la balance est restée collée sur l'ancien poids, donc no stress.
Bon, à part ça, des nouvelles côté cheveux. Et oui, ça faisait longtemps.
Et bien, ils sont raplaplas et la mèche tient plus debout toute seule. Enfin, ça n'a jamais tenu tout seul, mais avant, j'arrivais quand même à ressembler à Presley sans trop de chipotage.
Donc voilà, Dessange here I am.
Sinon à part ça, je suis allée à Avignon le we d'avant où mon talent d'instagrammeuse-paparazzeuze a créé de l'engouement.
Avignon, we mémorable, et d'ailleurs, Avignon ou pas, il le fut pour chacun de nos concitoyens des terres gelées et du printemps bypassé (attention, terme anglais signifiant oublié, nié, évité). Mémorable disais-je par le temps à demi-caniculaire où l'on pusse remarquer à vue d'oeil demoiselles en jupettes et ballerines, damoiseaux bah, comme d'hab les gars, pas beaucoup de choix, en t-shirt, short, et mamies-papys ont enfin ôté la couche Damart.
Voilà pour les nouvelles du pays de la fondue.
jeudi 4 avril 2013
Pipi Dream
Oyé Oyé, toute la nuit, j'ai rêvé que je faisais pipi.
J'ai au moins vu 3 toilettes différentes. Bon, à 7h du mat, je me suis finalement dit que c'était un rêve et qu'il était temps que j'aille visiter des toilettes réelles. Aussitôt pensé, aussitôt fait.
Bon, à part ça, j'ai plus de lait à la maison. J'ai hésité à mettre de l'eau dans mes céréales mais au dernier moment, me suis dit que ça allait pas le faire. Bref, pas de lait, pas de céréales.
Je mangerai mon cadeau de kinder bueno au boulot. Merci Sara.
Bon, à part ça, aujourd'hui soir, cours de danse tahitienne. Je vous dis pas comme la déesse Te Ohiri Te Manueva peut aller se cacher à côté de moi. Mon déhanché peut flinguer le pigeon qui passe à côté, mon roulé-boulé donne le tournis et mes cuisses défilent à la vitesse v v prime.
Pour le spectacle, je suis sûre que le prof va me proposer le rôle de fougère. Nondidju, mais ça danse comment une fougère?
Bon, allez, j'ai faim, je suis pas crevée et j'ai super envie d'aller bosser.
Je me dois donc de vous quitter Ô chers lecteurs inassouvis. Je vous souhaite de moins tousser, de moins vous moucher, bref, d'éviter de diluer vos microbes à-tout-va. Restez au lit, faites-vous un thé et regardez les rediffs du Club Do.
MA, de buenos humoros aujourd'huitos.
PS: J'ai les cheveux raplaplats maintenant. Newton avait raison, gravité quand tu nous tiens. Moi, je me fais une coupe Einstein tantôt, en gardant la longueur de Pagny (Florent pour les intimes).
J'ai au moins vu 3 toilettes différentes. Bon, à 7h du mat, je me suis finalement dit que c'était un rêve et qu'il était temps que j'aille visiter des toilettes réelles. Aussitôt pensé, aussitôt fait.
Bon, à part ça, j'ai plus de lait à la maison. J'ai hésité à mettre de l'eau dans mes céréales mais au dernier moment, me suis dit que ça allait pas le faire. Bref, pas de lait, pas de céréales.
Je mangerai mon cadeau de kinder bueno au boulot. Merci Sara.
Bon, à part ça, aujourd'hui soir, cours de danse tahitienne. Je vous dis pas comme la déesse Te Ohiri Te Manueva peut aller se cacher à côté de moi. Mon déhanché peut flinguer le pigeon qui passe à côté, mon roulé-boulé donne le tournis et mes cuisses défilent à la vitesse v v prime.
Pour le spectacle, je suis sûre que le prof va me proposer le rôle de fougère. Nondidju, mais ça danse comment une fougère?
Bon, allez, j'ai faim, je suis pas crevée et j'ai super envie d'aller bosser.
Je me dois donc de vous quitter Ô chers lecteurs inassouvis. Je vous souhaite de moins tousser, de moins vous moucher, bref, d'éviter de diluer vos microbes à-tout-va. Restez au lit, faites-vous un thé et regardez les rediffs du Club Do.
MA, de buenos humoros aujourd'huitos.
PS: J'ai les cheveux raplaplats maintenant. Newton avait raison, gravité quand tu nous tiens. Moi, je me fais une coupe Einstein tantôt, en gardant la longueur de Pagny (Florent pour les intimes).
mercredi 3 avril 2013
Bouh
Je me suis réveillée avant le réveil et pour une fois la tête en face des yeux.
Je me suis précipitée dans la salle de bain pour mettre mon anti-rides, mon anti-cernes puis j'ai massé ma ride du lion.
Sinon, vive Pâques. J'ai reçu 3 oeufs de Mika (la vache). Enfin, je me les suis auto-offerts. Triste constat cependant puisque l''un d'eux s'est fondu comme neige au soleil. Il a déposé ses séquelles sur mon cher Blackberry. Ca va. J'aurais crisé si c'était sur mon Iphone chéri.
Voilà, tout est bien qui finit bien. Hier, j'ai fait une bouchée des deux autres et les voilà-t-il pas qu'ils ont déposé un souvenir indélébile autour du nombril.
Voilà ma passionnante vie chocolatée.
Hier, j'ai terminé mon paquet de chips Mamamiah. Et je dois dire Mamamiah que c'était bueno. Bon, j'irai brûler les calories jeudi.
Voilà, sinon, j'espère que vous allez bien, que vous profitez du glagla ambiant et que vous travaillez pour deux.
Aujourd'hui est mercredi.
Et qui dit mercredi dit les enfants rentrent le midi.
Bon, moi perso, je rentre pas à midi.
Mes enfants ne rentrent pas à midi.
Bref, on s'en fout du mercredi.
Sur ces belles paroles pleine d'espoir, je vous souhaite ce qu'il y a de mieux à souhaiter : buenos dias et hasta la banana.
MA - en mode rien du tout.
Je me suis précipitée dans la salle de bain pour mettre mon anti-rides, mon anti-cernes puis j'ai massé ma ride du lion.
Sinon, vive Pâques. J'ai reçu 3 oeufs de Mika (la vache). Enfin, je me les suis auto-offerts. Triste constat cependant puisque l''un d'eux s'est fondu comme neige au soleil. Il a déposé ses séquelles sur mon cher Blackberry. Ca va. J'aurais crisé si c'était sur mon Iphone chéri.
Voilà, tout est bien qui finit bien. Hier, j'ai fait une bouchée des deux autres et les voilà-t-il pas qu'ils ont déposé un souvenir indélébile autour du nombril.
Voilà ma passionnante vie chocolatée.
Hier, j'ai terminé mon paquet de chips Mamamiah. Et je dois dire Mamamiah que c'était bueno. Bon, j'irai brûler les calories jeudi.
Voilà, sinon, j'espère que vous allez bien, que vous profitez du glagla ambiant et que vous travaillez pour deux.
Aujourd'hui est mercredi.
Et qui dit mercredi dit les enfants rentrent le midi.
Bon, moi perso, je rentre pas à midi.
Mes enfants ne rentrent pas à midi.
Bref, on s'en fout du mercredi.
Sur ces belles paroles pleine d'espoir, je vous souhaite ce qu'il y a de mieux à souhaiter : buenos dias et hasta la banana.
MA - en mode rien du tout.
mercredi 20 février 2013
Tout est dépeuplé
Voilà, Genève et ses banques mondiales auront eu raison de moi.
Je ne me suis vraiment pas adaptée:
- je traverse toujours au rouge
- je n'ai toujours pas de Vuitton
- et dans le style M'AS-TU VU, et bein, non, je crois que personne ne m'a vue.
A part ça, j'ai un torticoli et mon coeur a besoin de tortellini.
Je ne me suis vraiment pas adaptée:
- je traverse toujours au rouge
- je n'ai toujours pas de Vuitton
- et dans le style M'AS-TU VU, et bein, non, je crois que personne ne m'a vue.
A part ça, j'ai un torticoli et mon coeur a besoin de tortellini.
lundi 11 février 2013
Le Boulot Buisonnier
Aujourd'hui, il m'était nécessaire de
- me réchauffer
- de dormir
- de manger des fruits,
activités ayant disparu de mon quotidien ces derniers temps.
Au passage, quelques découvertes pour survivre à ce quotidien manquant de chaleur:
- aller voir Chili Gonzales,
- manger des saucisses lyonnaises
- lire "La Liste de mes Envies"
- écouter en boucle "Country Roads"
Il est 15.22, le pyjama étant toujours soudé à mon corps, j'ai peine à sortir m'acheter de quoi me sustenter les 3 prochaines heures.
Je constate néanmoins que ma collection de thé a été égayée à mon plus grand bonheur. Je vais donc me nourrir d'air, d'eau fraîche bouillante et de plantes.
MA, qui a soutenu activement la fondation "Les Thés du Monde" ce we.
- me réchauffer
- de dormir
- de manger des fruits,
activités ayant disparu de mon quotidien ces derniers temps.
Au passage, quelques découvertes pour survivre à ce quotidien manquant de chaleur:
- aller voir Chili Gonzales,
- manger des saucisses lyonnaises
- lire "La Liste de mes Envies"
- écouter en boucle "Country Roads"
Il est 15.22, le pyjama étant toujours soudé à mon corps, j'ai peine à sortir m'acheter de quoi me sustenter les 3 prochaines heures.
Je constate néanmoins que ma collection de thé a été égayée à mon plus grand bonheur. Je vais donc me nourrir d'air, d'eau fraîche bouillante et de plantes.
MA, qui a soutenu activement la fondation "Les Thés du Monde" ce we.
dimanche 27 janvier 2013
Ah tu verras tu verras
We à Annecy! Et force est de constater que j'ai pas fait la razzia shopping, mon armoire ne menace pas encore de pencher et encore moins de s'effondrer.
Ceci dit, j'ai quelques résolutions pour l'année post fin du monde:
- ne pas faire de sport,
- râler tout le temps,
- manger plus de chips, surtout les Hot&Spicy
- aller au McDo et StarBucks au moins une fois semaine,
- importer Lyn Around en Europe,
- cuisiner épicé, encore épicé, toujours épicé.
Bon, vu que je suis de mauvais poil à mon grand dam, je vais faire des étirements.
Ca rend pas de meilleure humeur mais ça rend souple.
Mais bon, peut-être que le fait d'être souple me rendra le sourire, qui sait!
Ceci dit, j'ai quelques résolutions pour l'année post fin du monde:
- ne pas faire de sport,
- râler tout le temps,
- manger plus de chips, surtout les Hot&Spicy
- aller au McDo et StarBucks au moins une fois semaine,
- importer Lyn Around en Europe,
- cuisiner épicé, encore épicé, toujours épicé.
Bon, vu que je suis de mauvais poil à mon grand dam, je vais faire des étirements.
Ca rend pas de meilleure humeur mais ça rend souple.
Mais bon, peut-être que le fait d'être souple me rendra le sourire, qui sait!
mercredi 16 janvier 2013
Prout Prout cacahuètes
Oui, fais chier, j'ai rêvé de caca toute la nuit.
Je me réveille toujours avant le réveil et je suis de mauvais poil.
Je me réveille toujours avant le réveil et je suis de mauvais poil.
dimanche 13 janvier 2013
Un dimanche comme les autres
Yep!
Réveil jetlaggé à 6h du mat. Un petit Foresti pour se mettre en jambe, entrecoupé d'un neu-neuf à la coque et puis attente insoutenable jusqu'au goûter chez Martel.
Voilà, je pense que je commence à me sentir home à Genève-les-bains.
Réveil jetlaggé à 6h du mat. Un petit Foresti pour se mettre en jambe, entrecoupé d'un neu-neuf à la coque et puis attente insoutenable jusqu'au goûter chez Martel.
Voilà, je pense que je commence à me sentir home à Genève-les-bains.
jeudi 10 janvier 2013
Miam Miam J exposant -1
Et voilà, ça fait un jour que je ne suis plus en présence de bouffe en veux-tu-tu-auras que mon estomac pleure de faim.
Bon, je vous évoque mes meilleurs souvenirs papillotiques.
Le premier tout bon, tout chaud c'est bien le fils du Papi roti, alias Papa Roti premier du nom.
Ce truc c'est trop mega BON. C'était le number one du voyage. Quand mon cher comparse me l'a fait goûté, j'ai fait même pas 10 mètres que j'ai fini de dévorer ce bun au café croustillant. Mamamiah, j'étais pas loin du paradis. Donc, je vais de ce pas, enfin, dans quelques semaines, m'essayer à reproduire la même 8ème merveille de ce monde. Soit-dit-en-passant, heureusement qu'il y a pas eu la fin du monde en décembre parce que j'aurais vraiment crevé ignorante de Papa Roti et ça, c'aurait été bien dommage.
Number 2, c'est com thit kho allant toujours de pair avec le canh kho qua. En français, ça donne : espèce de gros lard avec soupe de concombre amer. Ca a pas l'air de le faire, mais moi, ça m'a bien plu, au point que chaque matin, ça donnait à peu près ceci:
TRI : Tu veux manger quoi?
MA: Bah, un thit kho avec canh kho qua
TRI: Encore?
MA: Euh, bah oui, sinon, on peut faire ça le soir.
TRI: Bon, ok, c'est toi qui décide.
Ah, c'est quand même cool d'avoir un ami pas contraignant.
Voilà notre menu des 12 jours:
Maintenant, reste plus qu'à trouver une solution pour reproduire tout ça en se déplaçant le moins possible.
Pour fêter mon retour, enfin, pas vraiment le mien mais bon, mes chers collègues ont eu la bonne idée d'organiser un trip à Pilatus Klum, à 4h de Genève, avec 7 correspondances.
Ce qui veut dire que demain, faudra
- faire sonner les 3 réveils avant les coqs
- sauter le petit dej
- sauter dans le train
- courir d'un quai à un autre
- courir d'un quai à un bus
- courir d'un bus à un quai
et enfin, courir d'un bus à un téléphérique.
Et vice versa bien sûr si je veux un jour retrouver la civilisation genevoise.
MA - qui ne reviendra peut-être pas.
Bon, je vous évoque mes meilleurs souvenirs papillotiques.
Le premier tout bon, tout chaud c'est bien le fils du Papi roti, alias Papa Roti premier du nom.
Ce truc c'est trop mega BON. C'était le number one du voyage. Quand mon cher comparse me l'a fait goûté, j'ai fait même pas 10 mètres que j'ai fini de dévorer ce bun au café croustillant. Mamamiah, j'étais pas loin du paradis. Donc, je vais de ce pas, enfin, dans quelques semaines, m'essayer à reproduire la même 8ème merveille de ce monde. Soit-dit-en-passant, heureusement qu'il y a pas eu la fin du monde en décembre parce que j'aurais vraiment crevé ignorante de Papa Roti et ça, c'aurait été bien dommage.
Number 2, c'est com thit kho allant toujours de pair avec le canh kho qua. En français, ça donne : espèce de gros lard avec soupe de concombre amer. Ca a pas l'air de le faire, mais moi, ça m'a bien plu, au point que chaque matin, ça donnait à peu près ceci:
TRI : Tu veux manger quoi?
MA: Bah, un thit kho avec canh kho qua
TRI: Encore?
MA: Euh, bah oui, sinon, on peut faire ça le soir.
TRI: Bon, ok, c'est toi qui décide.
Ah, c'est quand même cool d'avoir un ami pas contraignant.
Voilà notre menu des 12 jours:
Pho Bo Vien |
Thit Kho - Kho Qua |
Tokyo Deli |
Pho Ga + Papparoti |
Kichi Kichi + Fanny Ice Cream |
Banh Mi Highlands |
Bo Kho |
Com Tam Bi Suong Cha |
Banh Mi Thap Cam |
Banh Bao Chien, Com Ca Kho To, Carry |
PadThai - Rau Muong - Goi cuon |
Ga Mien, Banh Uoc, Trung Op La |
Banh Bao, Banh Mi |
Ca Hong Nuong + Che Ba Mau |
Papparoti + Trung Op La |
Thit Kho - Kho Qua |
Udon, Katsu Don |
Pho Ga |
Banh Mi Nhu Lan |
Tokyo Deli |
Thit Kho |
Bo Kho Nhu Lan + Che |
Nhu Lan Com Ga Quay |
Pho Bo Vien |
Thit Kho Man + Ga Xa ot + Canh Kho Qua |
Bun Canh + Che |
Banh Mi Da Huu Highlands |
Banh Bao non Xa Xiu |
Kichi Kichi |
Maintenant, reste plus qu'à trouver une solution pour reproduire tout ça en se déplaçant le moins possible.
Pour fêter mon retour, enfin, pas vraiment le mien mais bon, mes chers collègues ont eu la bonne idée d'organiser un trip à Pilatus Klum, à 4h de Genève, avec 7 correspondances.
Ce qui veut dire que demain, faudra
- faire sonner les 3 réveils avant les coqs
- sauter le petit dej
- sauter dans le train
- courir d'un quai à un autre
- courir d'un quai à un bus
- courir d'un bus à un quai
et enfin, courir d'un bus à un téléphérique.
Et vice versa bien sûr si je veux un jour retrouver la civilisation genevoise.
MA - qui ne reviendra peut-être pas.
Good Morning Vietnam
Oh my God de chez oh my God, contre toute attente, je suis revenue entière, bronzée et amincie de ce pays devenu à mon grand regret de plus en plus anarchique.
Et pour preuve - concernant la partie "entière", pour fêter le post Nouvel An comme il se doit, on a décidé d'aller sur l'Ibiza vietnamien. Enfin, l'Ibiza aura eu raison de nous. On s'est tapé un hôtel champignonneux, aux odeurs aléatoires et aux services de caca boudin.
Non, vous n'aurez pas de couteau, oui, vous paierez le paquet de Pringgles Triple Cheddar au prix suisse, oui, on vous demandera chaque heure, chaque minute et chaque demi-minute si l'envie vous venait de vous inscrire aux tours attrape-nigaud. Non, nous n'en avons toujours pas envie.
C'est donc à Phu Quoc que je me suis initiée aux attaques de singes sournois, au scooter, aux routes qui soudainement ne sont plus routes, à l'apnée de l'air et last et sûrement pas least de ce court séjour, le clou de cette folle aventure, à la prise d'otage de mon propre passeport.
Pour le CON-texte, l'hôtel, qui n'avait pas encore encaissé la due somme, puisque jour férié oblige, s'est empressé de demander à ses clients - rois de surcroît - au moment du check out et à 30 minutes du vol retour, de repayer le séjour faute de quoi les passeports ne seraient pas rendus. Mais vous pensez bien que je n'allais pas repayer quelque chose de champignonneux, aux odeurs aléatoires et aux services inexistants deux fois.
Je me suis donc énervée - bien petit mot visiblement - puisque la dadame à la réception m'a répété en vain "Chi giu binh tinh" sur quoi je répondais non calmement "Khong, khong co giu binh tinh".
Bref, ça n'a pas semblé aussi poétique sur le coup. Donc, disais-je, faute de me rendre mon passeport, elle tenait un paquet de passeports en main, que je lui ai sauvagement arrachés.
Elle, en tout cas, elle "giu binh tinh", et si ce n'est un petit rikiki "rends-les moi", elle n'a pas bougé son corps d'un pixel. Constatant avec effroi que mon passeport ne faisant pas partie des "arrachés", je tente en vain une négociation à la belge, mais le compte à rebours faisant des tics tacs dans ma tête, je ne vis pas d'autres solutions que de lui arracher un second paquet de passeports.
En vain encore, les nôtres, dont le mien bien visible puisque de couleur vert pomme, n'étaient hélàs non plus pas là.
Finalement, je pars, les deux paquets de passeports en main, vaincue et fatiguée de ces arrachages de passeports et de ces discussions à contre-courant. Je pars, oui, enfin, à pattes puisque le bus vers l'aéroport nous a abandonnés, et sans le principal, à savoir, le passeport qui est le mien...
Grand moment de solitude.
Finalement, par je ne sais quel miracle, elle décide de rendre ce qui m'est du, et par je ne sais quel deuxième miracle, un taxi arrive synchronisément.
Je rentre dans la taxi, prends mon passeport, et garde les autres passeports, en leur disant bien que je le leur rendrai quand je serai dans mon avion. Et c'est là qu'une vieille marâtre prend le pauvre monsieur du taxi en otage. Khoooo, on y était presque.
Je vous passe les détails mais deux heures plus tard, on arrivait - enfin - sur la terre ferme.
Pour la partie bronzée et amincie, il me faudra un autre chapitre pour expliquer le pourquoi du comment.
Banane journée!
PS : Tri, merci à toi d'avoir "giu binh tinh". Huhuhu.
Pour info, Tri s'est énervé après.
Et résultat des courses, ça nous a payé soit l'équivalent de
- 2 jours de repas à deux dans des bui-bui
- un kichi-kichi pour deux
- 40 pappa rotis mon ami pour la vie
- un demi top de chez Lyn Around, ma marque que j'aime depuis touzours
Et pour preuve - concernant la partie "entière", pour fêter le post Nouvel An comme il se doit, on a décidé d'aller sur l'Ibiza vietnamien. Enfin, l'Ibiza aura eu raison de nous. On s'est tapé un hôtel champignonneux, aux odeurs aléatoires et aux services de caca boudin.
Non, vous n'aurez pas de couteau, oui, vous paierez le paquet de Pringgles Triple Cheddar au prix suisse, oui, on vous demandera chaque heure, chaque minute et chaque demi-minute si l'envie vous venait de vous inscrire aux tours attrape-nigaud. Non, nous n'en avons toujours pas envie.
C'est donc à Phu Quoc que je me suis initiée aux attaques de singes sournois, au scooter, aux routes qui soudainement ne sont plus routes, à l'apnée de l'air et last et sûrement pas least de ce court séjour, le clou de cette folle aventure, à la prise d'otage de mon propre passeport.
Pour le CON-texte, l'hôtel, qui n'avait pas encore encaissé la due somme, puisque jour férié oblige, s'est empressé de demander à ses clients - rois de surcroît - au moment du check out et à 30 minutes du vol retour, de repayer le séjour faute de quoi les passeports ne seraient pas rendus. Mais vous pensez bien que je n'allais pas repayer quelque chose de champignonneux, aux odeurs aléatoires et aux services inexistants deux fois.
Je me suis donc énervée - bien petit mot visiblement - puisque la dadame à la réception m'a répété en vain "Chi giu binh tinh" sur quoi je répondais non calmement "Khong, khong co giu binh tinh".
Bref, ça n'a pas semblé aussi poétique sur le coup. Donc, disais-je, faute de me rendre mon passeport, elle tenait un paquet de passeports en main, que je lui ai sauvagement arrachés.
Elle, en tout cas, elle "giu binh tinh", et si ce n'est un petit rikiki "rends-les moi", elle n'a pas bougé son corps d'un pixel. Constatant avec effroi que mon passeport ne faisant pas partie des "arrachés", je tente en vain une négociation à la belge, mais le compte à rebours faisant des tics tacs dans ma tête, je ne vis pas d'autres solutions que de lui arracher un second paquet de passeports.
En vain encore, les nôtres, dont le mien bien visible puisque de couleur vert pomme, n'étaient hélàs non plus pas là.
Finalement, je pars, les deux paquets de passeports en main, vaincue et fatiguée de ces arrachages de passeports et de ces discussions à contre-courant. Je pars, oui, enfin, à pattes puisque le bus vers l'aéroport nous a abandonnés, et sans le principal, à savoir, le passeport qui est le mien...
Grand moment de solitude.
Finalement, par je ne sais quel miracle, elle décide de rendre ce qui m'est du, et par je ne sais quel deuxième miracle, un taxi arrive synchronisément.
Je rentre dans la taxi, prends mon passeport, et garde les autres passeports, en leur disant bien que je le leur rendrai quand je serai dans mon avion. Et c'est là qu'une vieille marâtre prend le pauvre monsieur du taxi en otage. Khoooo, on y était presque.
Je vous passe les détails mais deux heures plus tard, on arrivait - enfin - sur la terre ferme.
Pour la partie bronzée et amincie, il me faudra un autre chapitre pour expliquer le pourquoi du comment.
Banane journée!
PS : Tri, merci à toi d'avoir "giu binh tinh". Huhuhu.
Pour info, Tri s'est énervé après.
Et résultat des courses, ça nous a payé soit l'équivalent de
- 2 jours de repas à deux dans des bui-bui
- un kichi-kichi pour deux
- 40 pappa rotis mon ami pour la vie
- un demi top de chez Lyn Around, ma marque que j'aime depuis touzours
Inscription à :
Articles (Atom)