Quand tu ne comptes pas.
Peut-être est-ce parce que tu n'as guère appris à déchiffrer les messages cachés envoyés par la 5ème dimension.
Dorénavant, tends bien l'oreille et vois ce que tu ne peux entendre. Bon, trève de pensées anatomiques, l'heure est à la concentration ce que ce que Arthur était pour les Mimimoys.
N'ayant pas terminé la saga d'Arthur, je ne puis vous dire ce qu'il est en précisément, je ne puis qu'alléguer que nous sommes présentement samedi et que, comme tout bon samedi qui se respecte, il faut écouter de la musique à donf, mangiare à donf, siester à donf, et last and sûrement not least, se visualiser une nouvelle tête de champignouf avant de s'installer chez le tip-couf.
Oui, une nième fois est de coutume, ma procrastination sabbatique n'est plus à démontrer. Mais que Dessange, Dachkin et Dartagnan soient bénis, heureusement, il existe beaucoup de femmes sur cette terre, ce qui veut dire que la masse globale de cheveux à faire disparaître dans les méandres des aspirateurs est conséquente, et que donc, ils n'ont pas à craindre pour leur business. Sauf si demain, un sale virus nous prenait et nous rendait tous déchevelus, alors oui, ça craindrait. Pour nous et pour eux.
Bon, allez, anyway, aujourd'hui, j'ai une bonne excuse pour ne pas sortir de mon écran.
Je suis atteinte de geekelite aigüe. Et pour preuve, je suis dotée en fond d'écran d'un minable bouton de fièvre sur le coin inférieur droit. J'ai beau cliquer dessus, clic-droit, clic-gauche, double-clic, rien n'y fait, il ne veut pas aller dans la corbeille. Satanée de fever spot, enfin, apparemment, le mot technique est "Herpes Febrilis". Beurk. C'est vraiment à dégoûter les gens. Fever Spot au moins, ça donnait un côté touchant.
Y'n a marre. je suis une calculatrice sur pattes. Outre les séquelles persistantes de mon excès de Aïki Noodles sur le front, cette semaine, j'ai en prime récolté un orgelet. Heureusement, ce dernier a disparu pour directo-presto faire place à ce ton-bou de Saturday Fever. Vous battez pas hein les gars, y'a de la place pour tout le monde.
Mais moi, en attendant, j'ai une marge de déplacement réduite dans un but de pur-anti-contamination évidemment. Ah, je m'admire. Je suis vraiment prévenante à votre égard. Soyez bien reconnaissants et envoyez-moi des bonbons.
Bon, allez, quoi qu'il en soit, la vie ne tient pas à ça, il faut voir le bon côté des choses, miaaaaaaaaam, des bonbons, ou comme dirait Emilie, "des os de chats tu veux dire".
Hasla ta visla.
Ce qui veut dire Au-guevoir dans le pays des gols.
1 commentaire:
ahah j'ai bien ri! merci! :-)
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