We à Annecy! Et force est de constater que j'ai pas fait la razzia shopping, mon armoire ne menace pas encore de pencher et encore moins de s'effondrer.
Ceci dit, j'ai quelques résolutions pour l'année post fin du monde:
- ne pas faire de sport,
- râler tout le temps,
- manger plus de chips, surtout les Hot&Spicy
- aller au McDo et StarBucks au moins une fois semaine,
- importer Lyn Around en Europe,
- cuisiner épicé, encore épicé, toujours épicé.
Bon, vu que je suis de mauvais poil à mon grand dam, je vais faire des étirements.
Ca rend pas de meilleure humeur mais ça rend souple.
Mais bon, peut-être que le fait d'être souple me rendra le sourire, qui sait!
dimanche 27 janvier 2013
mercredi 16 janvier 2013
Prout Prout cacahuètes
Oui, fais chier, j'ai rêvé de caca toute la nuit.
Je me réveille toujours avant le réveil et je suis de mauvais poil.
Je me réveille toujours avant le réveil et je suis de mauvais poil.
dimanche 13 janvier 2013
Un dimanche comme les autres
Yep!
Réveil jetlaggé à 6h du mat. Un petit Foresti pour se mettre en jambe, entrecoupé d'un neu-neuf à la coque et puis attente insoutenable jusqu'au goûter chez Martel.
Voilà, je pense que je commence à me sentir home à Genève-les-bains.
Réveil jetlaggé à 6h du mat. Un petit Foresti pour se mettre en jambe, entrecoupé d'un neu-neuf à la coque et puis attente insoutenable jusqu'au goûter chez Martel.
Voilà, je pense que je commence à me sentir home à Genève-les-bains.
jeudi 10 janvier 2013
Miam Miam J exposant -1
Et voilà, ça fait un jour que je ne suis plus en présence de bouffe en veux-tu-tu-auras que mon estomac pleure de faim.
Bon, je vous évoque mes meilleurs souvenirs papillotiques.
Le premier tout bon, tout chaud c'est bien le fils du Papi roti, alias Papa Roti premier du nom.
Ce truc c'est trop mega BON. C'était le number one du voyage. Quand mon cher comparse me l'a fait goûté, j'ai fait même pas 10 mètres que j'ai fini de dévorer ce bun au café croustillant. Mamamiah, j'étais pas loin du paradis. Donc, je vais de ce pas, enfin, dans quelques semaines, m'essayer à reproduire la même 8ème merveille de ce monde. Soit-dit-en-passant, heureusement qu'il y a pas eu la fin du monde en décembre parce que j'aurais vraiment crevé ignorante de Papa Roti et ça, c'aurait été bien dommage.
Number 2, c'est com thit kho allant toujours de pair avec le canh kho qua. En français, ça donne : espèce de gros lard avec soupe de concombre amer. Ca a pas l'air de le faire, mais moi, ça m'a bien plu, au point que chaque matin, ça donnait à peu près ceci:
TRI : Tu veux manger quoi?
MA: Bah, un thit kho avec canh kho qua
TRI: Encore?
MA: Euh, bah oui, sinon, on peut faire ça le soir.
TRI: Bon, ok, c'est toi qui décide.
Ah, c'est quand même cool d'avoir un ami pas contraignant.
Voilà notre menu des 12 jours:
Maintenant, reste plus qu'à trouver une solution pour reproduire tout ça en se déplaçant le moins possible.
Pour fêter mon retour, enfin, pas vraiment le mien mais bon, mes chers collègues ont eu la bonne idée d'organiser un trip à Pilatus Klum, à 4h de Genève, avec 7 correspondances.
Ce qui veut dire que demain, faudra
- faire sonner les 3 réveils avant les coqs
- sauter le petit dej
- sauter dans le train
- courir d'un quai à un autre
- courir d'un quai à un bus
- courir d'un bus à un quai
et enfin, courir d'un bus à un téléphérique.
Et vice versa bien sûr si je veux un jour retrouver la civilisation genevoise.
MA - qui ne reviendra peut-être pas.
Bon, je vous évoque mes meilleurs souvenirs papillotiques.
Le premier tout bon, tout chaud c'est bien le fils du Papi roti, alias Papa Roti premier du nom.
Ce truc c'est trop mega BON. C'était le number one du voyage. Quand mon cher comparse me l'a fait goûté, j'ai fait même pas 10 mètres que j'ai fini de dévorer ce bun au café croustillant. Mamamiah, j'étais pas loin du paradis. Donc, je vais de ce pas, enfin, dans quelques semaines, m'essayer à reproduire la même 8ème merveille de ce monde. Soit-dit-en-passant, heureusement qu'il y a pas eu la fin du monde en décembre parce que j'aurais vraiment crevé ignorante de Papa Roti et ça, c'aurait été bien dommage.
Number 2, c'est com thit kho allant toujours de pair avec le canh kho qua. En français, ça donne : espèce de gros lard avec soupe de concombre amer. Ca a pas l'air de le faire, mais moi, ça m'a bien plu, au point que chaque matin, ça donnait à peu près ceci:
TRI : Tu veux manger quoi?
MA: Bah, un thit kho avec canh kho qua
TRI: Encore?
MA: Euh, bah oui, sinon, on peut faire ça le soir.
TRI: Bon, ok, c'est toi qui décide.
Ah, c'est quand même cool d'avoir un ami pas contraignant.
Voilà notre menu des 12 jours:
Pho Bo Vien |
Thit Kho - Kho Qua |
Tokyo Deli |
Pho Ga + Papparoti |
Kichi Kichi + Fanny Ice Cream |
Banh Mi Highlands |
Bo Kho |
Com Tam Bi Suong Cha |
Banh Mi Thap Cam |
Banh Bao Chien, Com Ca Kho To, Carry |
PadThai - Rau Muong - Goi cuon |
Ga Mien, Banh Uoc, Trung Op La |
Banh Bao, Banh Mi |
Ca Hong Nuong + Che Ba Mau |
Papparoti + Trung Op La |
Thit Kho - Kho Qua |
Udon, Katsu Don |
Pho Ga |
Banh Mi Nhu Lan |
Tokyo Deli |
Thit Kho |
Bo Kho Nhu Lan + Che |
Nhu Lan Com Ga Quay |
Pho Bo Vien |
Thit Kho Man + Ga Xa ot + Canh Kho Qua |
Bun Canh + Che |
Banh Mi Da Huu Highlands |
Banh Bao non Xa Xiu |
Kichi Kichi |
Maintenant, reste plus qu'à trouver une solution pour reproduire tout ça en se déplaçant le moins possible.
Pour fêter mon retour, enfin, pas vraiment le mien mais bon, mes chers collègues ont eu la bonne idée d'organiser un trip à Pilatus Klum, à 4h de Genève, avec 7 correspondances.
Ce qui veut dire que demain, faudra
- faire sonner les 3 réveils avant les coqs
- sauter le petit dej
- sauter dans le train
- courir d'un quai à un autre
- courir d'un quai à un bus
- courir d'un bus à un quai
et enfin, courir d'un bus à un téléphérique.
Et vice versa bien sûr si je veux un jour retrouver la civilisation genevoise.
MA - qui ne reviendra peut-être pas.
Good Morning Vietnam
Oh my God de chez oh my God, contre toute attente, je suis revenue entière, bronzée et amincie de ce pays devenu à mon grand regret de plus en plus anarchique.
Et pour preuve - concernant la partie "entière", pour fêter le post Nouvel An comme il se doit, on a décidé d'aller sur l'Ibiza vietnamien. Enfin, l'Ibiza aura eu raison de nous. On s'est tapé un hôtel champignonneux, aux odeurs aléatoires et aux services de caca boudin.
Non, vous n'aurez pas de couteau, oui, vous paierez le paquet de Pringgles Triple Cheddar au prix suisse, oui, on vous demandera chaque heure, chaque minute et chaque demi-minute si l'envie vous venait de vous inscrire aux tours attrape-nigaud. Non, nous n'en avons toujours pas envie.
C'est donc à Phu Quoc que je me suis initiée aux attaques de singes sournois, au scooter, aux routes qui soudainement ne sont plus routes, à l'apnée de l'air et last et sûrement pas least de ce court séjour, le clou de cette folle aventure, à la prise d'otage de mon propre passeport.
Pour le CON-texte, l'hôtel, qui n'avait pas encore encaissé la due somme, puisque jour férié oblige, s'est empressé de demander à ses clients - rois de surcroît - au moment du check out et à 30 minutes du vol retour, de repayer le séjour faute de quoi les passeports ne seraient pas rendus. Mais vous pensez bien que je n'allais pas repayer quelque chose de champignonneux, aux odeurs aléatoires et aux services inexistants deux fois.
Je me suis donc énervée - bien petit mot visiblement - puisque la dadame à la réception m'a répété en vain "Chi giu binh tinh" sur quoi je répondais non calmement "Khong, khong co giu binh tinh".
Bref, ça n'a pas semblé aussi poétique sur le coup. Donc, disais-je, faute de me rendre mon passeport, elle tenait un paquet de passeports en main, que je lui ai sauvagement arrachés.
Elle, en tout cas, elle "giu binh tinh", et si ce n'est un petit rikiki "rends-les moi", elle n'a pas bougé son corps d'un pixel. Constatant avec effroi que mon passeport ne faisant pas partie des "arrachés", je tente en vain une négociation à la belge, mais le compte à rebours faisant des tics tacs dans ma tête, je ne vis pas d'autres solutions que de lui arracher un second paquet de passeports.
En vain encore, les nôtres, dont le mien bien visible puisque de couleur vert pomme, n'étaient hélàs non plus pas là.
Finalement, je pars, les deux paquets de passeports en main, vaincue et fatiguée de ces arrachages de passeports et de ces discussions à contre-courant. Je pars, oui, enfin, à pattes puisque le bus vers l'aéroport nous a abandonnés, et sans le principal, à savoir, le passeport qui est le mien...
Grand moment de solitude.
Finalement, par je ne sais quel miracle, elle décide de rendre ce qui m'est du, et par je ne sais quel deuxième miracle, un taxi arrive synchronisément.
Je rentre dans la taxi, prends mon passeport, et garde les autres passeports, en leur disant bien que je le leur rendrai quand je serai dans mon avion. Et c'est là qu'une vieille marâtre prend le pauvre monsieur du taxi en otage. Khoooo, on y était presque.
Je vous passe les détails mais deux heures plus tard, on arrivait - enfin - sur la terre ferme.
Pour la partie bronzée et amincie, il me faudra un autre chapitre pour expliquer le pourquoi du comment.
Banane journée!
PS : Tri, merci à toi d'avoir "giu binh tinh". Huhuhu.
Pour info, Tri s'est énervé après.
Et résultat des courses, ça nous a payé soit l'équivalent de
- 2 jours de repas à deux dans des bui-bui
- un kichi-kichi pour deux
- 40 pappa rotis mon ami pour la vie
- un demi top de chez Lyn Around, ma marque que j'aime depuis touzours
Et pour preuve - concernant la partie "entière", pour fêter le post Nouvel An comme il se doit, on a décidé d'aller sur l'Ibiza vietnamien. Enfin, l'Ibiza aura eu raison de nous. On s'est tapé un hôtel champignonneux, aux odeurs aléatoires et aux services de caca boudin.
Non, vous n'aurez pas de couteau, oui, vous paierez le paquet de Pringgles Triple Cheddar au prix suisse, oui, on vous demandera chaque heure, chaque minute et chaque demi-minute si l'envie vous venait de vous inscrire aux tours attrape-nigaud. Non, nous n'en avons toujours pas envie.
C'est donc à Phu Quoc que je me suis initiée aux attaques de singes sournois, au scooter, aux routes qui soudainement ne sont plus routes, à l'apnée de l'air et last et sûrement pas least de ce court séjour, le clou de cette folle aventure, à la prise d'otage de mon propre passeport.
Pour le CON-texte, l'hôtel, qui n'avait pas encore encaissé la due somme, puisque jour férié oblige, s'est empressé de demander à ses clients - rois de surcroît - au moment du check out et à 30 minutes du vol retour, de repayer le séjour faute de quoi les passeports ne seraient pas rendus. Mais vous pensez bien que je n'allais pas repayer quelque chose de champignonneux, aux odeurs aléatoires et aux services inexistants deux fois.
Je me suis donc énervée - bien petit mot visiblement - puisque la dadame à la réception m'a répété en vain "Chi giu binh tinh" sur quoi je répondais non calmement "Khong, khong co giu binh tinh".
Bref, ça n'a pas semblé aussi poétique sur le coup. Donc, disais-je, faute de me rendre mon passeport, elle tenait un paquet de passeports en main, que je lui ai sauvagement arrachés.
Elle, en tout cas, elle "giu binh tinh", et si ce n'est un petit rikiki "rends-les moi", elle n'a pas bougé son corps d'un pixel. Constatant avec effroi que mon passeport ne faisant pas partie des "arrachés", je tente en vain une négociation à la belge, mais le compte à rebours faisant des tics tacs dans ma tête, je ne vis pas d'autres solutions que de lui arracher un second paquet de passeports.
En vain encore, les nôtres, dont le mien bien visible puisque de couleur vert pomme, n'étaient hélàs non plus pas là.
Finalement, je pars, les deux paquets de passeports en main, vaincue et fatiguée de ces arrachages de passeports et de ces discussions à contre-courant. Je pars, oui, enfin, à pattes puisque le bus vers l'aéroport nous a abandonnés, et sans le principal, à savoir, le passeport qui est le mien...
Grand moment de solitude.
Finalement, par je ne sais quel miracle, elle décide de rendre ce qui m'est du, et par je ne sais quel deuxième miracle, un taxi arrive synchronisément.
Je rentre dans la taxi, prends mon passeport, et garde les autres passeports, en leur disant bien que je le leur rendrai quand je serai dans mon avion. Et c'est là qu'une vieille marâtre prend le pauvre monsieur du taxi en otage. Khoooo, on y était presque.
Je vous passe les détails mais deux heures plus tard, on arrivait - enfin - sur la terre ferme.
Pour la partie bronzée et amincie, il me faudra un autre chapitre pour expliquer le pourquoi du comment.
Banane journée!
PS : Tri, merci à toi d'avoir "giu binh tinh". Huhuhu.
Pour info, Tri s'est énervé après.
Et résultat des courses, ça nous a payé soit l'équivalent de
- 2 jours de repas à deux dans des bui-bui
- un kichi-kichi pour deux
- 40 pappa rotis mon ami pour la vie
- un demi top de chez Lyn Around, ma marque que j'aime depuis touzours
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