mardi 20 octobre 2009

Club du rire

Et voilà, après maintes et piedes hésitations dues à ma mollesse incarnée, je suis retournée à une séance du club du rire. On a fait le rire "sale facture", le rire "diesel" et le rire "fil barbelivien". 

Oh, qu'est-ce qu'on était blindé aujourd'hui. Je reviens sourde tellement ça résonnait.
Bon, c'est cool, maintenant, j'ai plus de trou sur le front, j'ai jeté le poids du monde qui traîne incessamment à la veille de mon avancée printanière. C'est horrible d'avoir 29 ans, c'est l'âge le plus insignifiant sur terre. C'est comme si j'étais dans un no age land. 

Bon, allez, en fait, je m'en fous. En vacances, tout le monde (non j'exagère, juste un bigleux) pensait que j'avais 16 ans, le reste 23 ans alors ça va, j'ai encore de la marge avant de faire mon âge. Puis un jour, si je fais mon âge, si j'attrape des pattes d'oie, un sourcil de lion, et bien, je me ferai botoxer à fond la face, et d'ici à ce que je me prenne tout ça dans la gueule, les miracles de la technologie auront fait leur chemin.
  

mardi 6 octobre 2009

Bienvenue chez les Robinsons

Y'a rien à redire. Faut que je le revoie. En triple exemplaire. C'était trop top de chez TROTOP.

C'est la première fois que je me dis ça en sortant d'un film - que je veuille à 1 ou à 100€ le revoir (ouuuuuuh celui qui comprend je lui décerne  la médaille de la subtiliteit). 

Bon bref, moi, je suis clouée. Je suis ébahie. Je suis trouée. Je dis oooooouhhhhhf. Je dis waaaaaaaargh. Non là franchement, comment vous faire passer une émotion qui mixe la coloration just in touch, le gentil, le mimi, et le Happy pas nunuche Ever Ending story.

Et y'a pas de quoi mordre un chat, mais bon, je tiens à l'annoncer : j'ai deviné après 10 minutes de film la fin. Khoooo, je suis balèze. Oui, appelez-moi Madame Irma. Ou l'incroyable Hulk. As you want.

Oh, en parlant de balèze, j'ai pris 2 kilos sans dec en 2 jours. C'est horripilant. Et comme pour marquer le coup, mes poils de bras sont devenus hideux alors qu'ils avaient viré en blond platinium. Kho, c'est quoi ce sbin.   

Bon, allez, à part ça, j'ai passé mon aprem à tenter de merger des fichiers de format *.u00, je vous dis pas la joie. Jamais vu, jamais entendu, et la cerise sur le to-go, c'est que je dois appender ces 300 fichiers de ce type inconnu du champ de bataille dans un master .FIL en faisant un print des formats. 

Watyougonadouuuuuuuuu, comme dirait mon bro.

Bon, moi, y'a n'a pas tout comprendre. Je songe à sous-traiter ma tâche à un mandaï qui va me faire 300 control A, control C, control V, control Q, et robot-lotte. Je crois que ça le fera aussi. Souvent, la solution est dans la délégation. Comme ça, on peut s'atteler à des concoctations bien plus appétissantes. Genre faire sa première soupe au potiron.

Je pense que c'est pas super compliqué. Y'a juste que je vais aussi déléguer l'étape épluchage des patates et du dit-potiron. Après, y'a plus qu'à. Ca va être délicieusissime, je le sens bien. Je ne rate quasi plus rien. C'est pas pour frimer mais c'est carrément vrai.

Bon, y'a des fois où c'est pas assez cuit, assez salé ou assez ferme, mais franchement, ça a toujours une bonne bouille et tout le monde il est content de se sustenter de mes inventions culinaires, et personne il est malade. C'est pas beau ça?

Allez, bientôt, je pourrai recevoir une toque. 
Toc toc toc, kesakoooooo? Euh.... c'est MA-TOQUE, je suis une amie de KI-TOC, l'homme qui frappait à la porte.  

lundi 5 octobre 2009

Love is too fast

Nelly, moi qui pensais que tu disais que l'amour allait trop vite, et bien, que nenni, les bonnes choses ont une fin, des amants aux amis, l'amour ne va point vite. Comme quoi, on a ou on n'a pas l'oreille. Et l'invention est un plat qui se mange sans ses deux oreilles.

dimanche 4 octobre 2009

Manga Manga

Allez, demain, je me tape un tip-couf pour la nième tentative du mois. J'ai pas réussi à me faire arranger ma chevelure de feu ce we vu le succès planétaire de mon coup-tiffeur attitré. 
Mais force est de constater que mes cheveux s'embellissent à vue d'oeil, donc y'a peut-être moyen que le gène du rétractage fasse eftet de nouveau.

Ca matcha pas

non vlément pas.

Mon envie de chocolater n'a pas déjoué les lois de la paresse et le voici donc mon néant de gâteau entartelé.

Il aurait pu ressembler à un monstre du paradis de la gourmandise, dégoulinant en son centre une traînée slime (se référer au dictionnaire de la physique des matériaux), il aurait pu ressembler à un bloc bétonné tout asséché et raplati par la gravité, il aurait pu se faire confondre avec un quatre-quart bronzé, mais rien de tout cela, à l'heure qu'il est, ses éléments sont encore disparates et désintégrés à travers le frigo et le placard, il n'y a encore eu ni montage en neige, ni douche-jean-jean-de-la-fontaine, ni bain-marie, il y a juste une petite pensée pour mon gâteau fantasmagorique.

Bon, trêve de bavardage des absents, concentrons-nous sur la semaine écourtée de ma dernière semaine. 
J-4 donc si mon décomptage est bon.
Et of course que mon décomptage est bon, jamais vacances n'auront été si bienvenues.
En voici les causes de la racine : 
- Il commence à sérieusement faire déprimant 
- Les nuages ont viré du blanc neige au grisâtre-ténèbreux
- Les tenues sexys sont obligées de se faire camoufler par une veste, des pulls et des chaussettes épaisses
- Le teint se met au vert blafard
- Les bourrelets pointent discrètement de l'oeil
- Les nez se font coulant
- Les cernes viennent se souder par-dessus la crème zéro-défaut
- Les envies de salade et pois chiche se font rares
- Les envies de carbonnades frites se font journalières

Bref, il était toujours temps de faire un petit break histoire d'affronter de plus belle l'hiver et ses inter-minables lèvres gercées.